De plus, la gestion du risque alimentaire est plus rigoureuse au Québec, mais nous payons le prix pour des écarts et retards canadiens comme dans le dossier de l’encéphalopathie bovine ou celui de l’étiquetage des OGM. Nous sommes coincés au sein du Canada dans une forme de multilatéralisme improductif. Il nous faut la capacité d’agir comme État indépendant. Cela contribuera à tirer vers le haut les pratiques de nos partenaires.
...
Sur la question de l’application du principe de précaution en matière d’organismes génétiquement modifiés, la position des organismes de défense des consommatrices et des consommateurs québécois est à l’opposé de celle défendue par leurs interlocuteurs canadiens. En dépit de cela, le gouvernement fédéral a décidé de ne pas rendre obligatoires l’étiquetage et le suivi des aliments comprenant des OGM. C’est un exemple concret de la façon dont le Canada amènera la province de Québec à accepter des compromis sur les questions reliées à la mondialisation.
Malheureusement, on dirait que le parti québécois a oublié. Du moins, ça ne paraît pas comme priorité dans la plateforme électorale de 2007. On n'y voit seulement:
soutiendra l’agriculture biologique et le développement
de nouveaux produits.
Déception :(
Pas mieux du côté du parti libéral :(
Ni du côté ADQuiste :(
Sanctus Animus
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